mardi 8 décembre 2009

HS : Rome au temps de Néron, spécial Murena

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À l'occasion de la sortie du 7e épisode de Murena, une série de bandes dessinées, un numéro hors série de la revue L'Histoire et des éditions Dargaud est en kiosque, il s'intitule : Rome au temps de Néron.
Parmi les rédacteurs de cette publication, notre ami Claude Aziza se taille la part du lion (6 articles, un stakhanoviste…), il est aussi le coauteur de la version de Murena en latin.
Le regretté Pierre Grimal qui nous rendit visite en 1959, 1969 et 1980, ainsi que Jean-Paul Thuillier, il nous parla des cinq noms des Étrusques en 2003 et Jean-Michel Croisille (Le paysage dans la peinture antique — 2008) sont aussi de la partie. Relevons encore les noms de Paul Veyne, Maurice Sartre, Yves Perrin…
Donc un régal à 4,95 €, il est encore en kiosque jusqu'à l'aube de l'année 2010…
Attention les abonnés à l'Histoire ne le recevront pas, ils doivent l'acheter chez leur marchand de journaux (comme les non-abonnés…).
Bonne lecture.

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mardi 1 décembre 2009

Une statue de Guillaume Budé

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Notre maître-toilier, explorateur infatigable du web, vient de découvrir qu'à Villiers-sur-Marne on voit se dresser une statue en pied de Guillaume Budé. Elle est à l'adresse http://fr.topic-topos.com/statue-de-guillaume-bude-villiers-sur-marne/ Cette statue avait sans doute été récupérée sur la façade de l'hôtel de ville de Paris détruit en 1871 (Guillaume Budé avait été prévôt des marchands de la Ville de Paris en 1522). Le grand-père de notre Guillaume, Dreux Budé, père de Jean Budé, était seigneur d'Yerres, Villiers-sur-Marne et autres lieux. Guillaume, lui, n'avait pas droit à ce titre, n'étant que le cinquième fils de Jean Budé (il fut toutefois seigneur de Marly-la-Ville et de Villeneuve). Les communes d'Yerres et de Villiers-sur-Marne ont fait figurer dans leur blason les armes des Budé (un chevron accompagné de trois grappes de raisin). A Yerres, que nous avons visité en 1980, on voit encore la façade du château construit par Dreux Budé et une fabrique en forme de grotte sur laquelle on a mis un médaillon de Guilaume Budé avec quelques vers.
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vendredi 20 novembre 2009

Péplum

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Notre ami Claude AZIZA fait décidément flèche de tout bois cet automne : après avoir présenté son "Roman de la Lune" sur France-Culture, il était mercredi dernier sur France-Inter à l'émission "2 000 ans d'histoire" pour parler du Péplum !

Pour écouter l'émission : suivez ce lien !

[Attention pour écouter l'émission avec votre ordinateur, celui-ci doit être doté du logiciel Real Player, sinon, vous pouvez le télécharger]

Et n'oubliez pas que « le péplum est à la version latine ce que le caviar est à la soupe » Boris Vian.
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lundi 16 novembre 2009

Exposition New York par B. Mérigault

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La Galerie Gil Bastide (225 rue de Bourgogne) présente jusqu'au 5 décembre les toiles que Bernard Mérigault a peintes après deux séjours à New York : des œuvres variées et originales qui peuvent être senties comme une invitation au prochain voyage de notre association... Cette exposition est présentée sur le site de la galerie, mais rien ne vaut une visite sur place. De plus, comme presque toutes les toiles sont déjà vendues, cela n'entame pas nos économies pour notre propre voyage ! Je profite de ce message pour dire avec quel plaisir, Marie et moi nous avons découvert Budé Scop' n° 1 : présentation attrayante et fournie de la vie de l'association et des exposés à venir. Guidés par le maître-toilier nous avons visité le site web et avons été enthousiasmés par son esthétique, sa convivialité et la richesse de son contenu (nous allons l'explorer plus à fond pour en retirer toute la substantifique moelle).
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mercredi 11 novembre 2009

Conférences de la BNF en vidéo sur le Web

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La BNF nous permet de retrouver en vidéo une trentaine de conférences qui se sont tenues dans ses murs depuis 2001.

La présentation et liste de ces conférences de la BNF en ligne sont accessible en cliquant sur le titre de cet article.

Deux anciens invités de notre association y figurent : Elisabeth Badinter et Yves Bonnefoy. Alberto Manguel qui s'entretiendra le 28 janvier prochain avec Thierry Bouchard figure parmi eux, ainsi que Paul Veyne, George Steiner, etc.

À votre ordinateur ! (… il n'y a pas que la télévision dans la vie)
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lundi 26 octobre 2009

Histoire des Gaulois

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Vous pouvez retrouver cette semaine sur France Culture, un de nos anciens conférenciers : Christian Goudineau, professeur au Collège de France (chaire des Antiquités nationales).

Le 14 décembre 2004, cet enthousiaste spécialiste des Gaulois nous a magistralement parlé de : La Guerre des Gaules et l'archéologie.

Cette semaine (d'aujourd'hui lundi 26 octobre à jeudi) sur France-Culture, durant l'émission "La fabrique de l'Histoire", de 9:05 à 10 heures :
Histoire des Gaulois

Si vous avez manqué cette émission, durant un mois, vous pouvez l'écouter sur votre ordinateur,  pour cela : cliquez sur ce lien, ensuite depuis la nouvelle page, sur   (ensuite "lancez" le fichier sans oublier de mettre le son de votre ordinateur).

Une autre solution est de "podcaster" ces émissions. Le podcasting ou la balladodiffusion est un moyen de diffusion de fichiers (audio, vidéo ou autres) sur Internet appelés podcasts ou balados (merci Wikipédia)

lundi 19 octobre 2009

Jules César

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Voici quelques remarques que je me fais après avoir vu “ JULES CÉSAR“, le spectacle monté par Arthur Nauzyciel au théâtre d’Orléans.

J’ai apprécié et même admiré, en grande partie, la mise en scène résolument moderne qui nous a ramenés aux " années 60 " : sobre mobilier en vogue à l'époque, costumes sombres, très contemporains des protagonistes : vestes, chemises, cravates, autant d’accessoires dont jouent avec élégance les acteurs pour marquer les changements d’action, d’humeur, de rythme qu’impose la tragédie de Shakespeare. Oiseaux noirs d’un assassinat annoncé, figures masquées d’un complot hâtivement organisé, les acteurs exécutent une impeccable chorégraphie. Impression d’irréalité aidée par l’escamotage parfait des praticables.

J'ai bien aimé la déambulation des acteurs, leur gestuelle travaillée, si expressive, la forte tension traduite par le langage précipité qui les coagulait par moments, en groupes de conspirateurs, unis provisoirement dans la haine du tyran. J'ai aimé la stylisation de leur jeu, leurs embrassades mortelles, leurs corps fantômatiques qui articulaient dans le vide, s'interpellaient sans se regarder avec l'énergie silencieuse qui les animait… j’ai aimé le cri rouge du fond de scène, fauteuils des spectateurs vides et sanglants plus éloquents que les fantômes… négligemment traités par le metteur en scène. J’ai aimé aussi, la mise à mort du tyran réglée comme un ballet, sans aucun réalisme. Artificialité qui devient poésie.

Quelques réticences… J’ai peu goûté la présence du fantôme féminin de Portia, inutilement assise près de Brutus, potiche féminine ! ni l'apparition du fantôme de Jules César à Brutus traitée (selon moi… ) à l’emporte-pièce et banalisant ce moment de tension dramatique voulue par Shakespeare.

La musique portée par le trio jazzy sonnait juste souvent… parfois trop ludique quand il se portait sur scène..... il apportait une respiration agréable mais étirait le texte à n’en plus finir. Façon Broadway, il donnait une touche étrange d’américanisme à cette mise en scène peu banale !

Je me souviendrai de cette mise en scène d’une grande beauté plastique qui servait intelligemment ce grand texte de théâtre qu’est “JULES CÉSAR“.

NB - À propos… le fait de ne rien comprendre à l’anglais parlé par les acteurs, ne m’a nullement gênée. J’étais dans un espace-temps que je déchiffrais mesure après mesure. Transportée !

jeudi 15 octobre 2009

Sur le Julius Caesar de Nauzyciel

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Voici l’opinion de Brigitte Salino (dans Le Monde du 15-10-09) sur les musiques de l'âme de "Jules César", pièce mise en scène par Arthur Nauziciel, que nous avons pu voir du 14 au 17 octobre.

Jules César est une des pièces de Shakespeare les moins jouées en France. […] Arthur Nauzyciel en donne une vision proprement stupéfiante. Rarement le théâtre atteint de tels sommets d'émotion réfléchie que dans ce Jules César. Rarement les mots résonnent ainsi, comme des coups, conscients ou inconscients, que les personnages se donnent entre eux, ou à eux-mêmes. Rarement le pouvoir apparaît sous une lumière aussi acérée, baignée d'une insondable mélancolie.

Avec Arthur Nauzyciel, la pièce de Shakespeare change d'époque. Elle n'a pas pour décor la Rome antique de César, mais l'Amérique des années 1960, qui a vu à la fois l'élection de John Fitzgerald Kennedy à la présidence des Etats-Unis, en 1961, et son assassinat, à Dallas, en 1963. Ce moment-là a été vécu comme un gouffre, la fin d'un monde. Il en fut de même quand César fut assassiné, en 44 avant Jésus-Christ. C'est en tout cas la vision qu'en propose Shakespeare, dans sa pièce écrite en 1599.

César meurt, tué par les conjurés menés par Cassius et Brutus, aimé comme un fils, parce qu'il représente une menace : il veut une couronne qui lui donnera tout le pouvoir, et le pouvoir absolu corrompt. "Préférez-vous César vivant, et mourir esclaves, ou César mort, et tous vivre libres ?", lance Brutus à la foule qui lui demande une justification de son acte : "César m'aimait, je le pleure. Il connut le succès, je m'en réjouis. Il fut vaillant, je l'honore. Mais il fut ambitieux et je l'ai tué."

Ce que Brutus ne dit pas aux Romains, mais qu'il a plus tôt avoué à Cassius, c'est qu'il est d'abord "en guerre avec lui-même". Une tristesse l'accable, à laquelle il ne saurait donner de nom. De la même manière, tous autour de lui sont atteints d'un mal diffus. César a beau affirmer "Le danger sait fort bien que César est plus dangereux que lui", il se révèle superstitieux, hanté par la perspective des Ides de mars qui, selon les oracles, lui seraient défavorables. Cassius ne cache pas la jalousie qui l'anime, mais son ressentiment tient aussi au sentiment qui le mènera à juger légitime de mourir le jour de son anniversaire, sur le champ de bataille où son camp s'oppose à celui d'Antoine, le successeur de César. Il y a ainsi dans la pièce de Shakespeare, une profusion de signes du destin, des orages ou des oiseaux funestes, qui déploient une obscure et insondable toile de fond en contradiction avec l'imparable clarté apparente du discours politique.

La mise en scène d'Arthur Nauzyciel se glisse dans ce hiatus. Elle fait entendre ce qui n'est pas dit, les lapsus de la pensée et les dérives de la conscience. Les personnages s'adressent à eux-mêmes plus qu'ils ne débattent avec les autres. Ils sont ensemble, mais séparés, dans un décor évoquant au début de la représentation un vaste salon d'hôtel de campagne présidentielle, dans les années 1960, puis s'élargit jusqu'à devenir immense, par un effet de miroir qui renvoie sur tout le plateau l'image d'une salle de théâtre vide, aux fauteuils rouges comme le sang versé.

Sur le côté, se tient un trio de jazz, totalement partie prenante du jeu. Il insère dans les scènes le contrepoint d'une musique de l'âme, comme les autres musiques entendues : la fin du discours d'Antoine aux Romains s'accompagne de My Body Is In Chine, du groupe Arcade Fire, qui déchire l'air sur l'image du corps de César, frappé des trente-trois coups mortels, se relevant face à la salle, comme un spectre à la bouche déchiquetée par un cri muet.Certes, à côté de moments aussi saisissants que celui-ci, et ils sont nombreux, il y a parfois des chutes de tension, en particulier dans les scènes de bataille, toujours difficiles à représenter. Mais cela pèse peu en regard de la durée — 3 h 30 — et de la tension souterraine de la mise en scène, portée par une distribution de tout premier ordre, qui rend à Jules César ce qui lui appartient, et lui donne ce qu'Arthur Nauzyciel lui apporte : la folie rédemptrice du pouvoir... théâtral.


Et vous, quelle est votre opinion sur cette mise en scène ?

mercredi 14 octobre 2009

Filles et fils de Clio à Pothier

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Si le Cycle César vous laisse quelques loisirs, voici un nouveau cycle de conférences. Il concerne l'histoire et se déroulera dans l'auditorium du lycée Pothier.Il nous est proposé par Patrick Clastres qui nous parla de "PIERRE DE COUBERTIN ET L'INVENTION DE LA TRADITION OLYMPIQUE, il y a un peu plus d'un an.

Le programme de l'année 2009-10 et ses objectifs sont présentés dans le document lié à ce message (cliquez sur le titre de ce message pour le télécharger).

N'oubliez pas que les auditeurs extérieurs au lycée Pothier doivent s'inscrire avant les conférences auprès de patrick.clastres@sciences-po.org.

Voir : "Filles et fils de Clio - Conférences d'histoire"

vendredi 9 octobre 2009

"Ordet" - Nauzyciel sur France Culture

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En parallèle avec le cycle César orléanais, la pièce "Ordet" de Kaj Munk d'après la mise en scène d'Arthur Nauzyciel sera diffusée sur France-Culture samedi prochain (10/10) à 20 heures.

Présentation :
"Ordet - Festival d'Automne 2009
Jean-Marie Winling
Traduction et adaptation Marie Darrieussecq,
Mise en scène et adaptation Arthur Nauzyciel

Ordet a été enregistré pour France Culture le 25 septembre 2009 au Théâtre du Rond-Point dans le cadre du Festival d'Automne à Paris.

Un monde à la fois proche et lointain, moderne et ancien ; un monde en même temps terrien et profondément religieux quelque part au Nord de l'Europe. On y invoque le ciel pour toutes sortes de raisons plus ou moins métaphysiques, parfois même prosaïques. On s'y affronte sur des différends théologiques aux motifs terre-à-terre, qui renvoient à la lutte pour la domination. C'est un monde mêlé où différentes conceptions s'opposent farouchement. Le langage y joue un rôle puissant, comme si les mots devaient toujours être suivis d'effets. D'où le titre de cette pièce du Danois Kaj Munk, Ordet, en français La Parole. Carl Theodor Dreyer en fit un film célèbre. Le metteur en scène Arthur Nauzyciel et la romancière Marie Darrieussecq ont remarquablement adapté en français cette pièce sur le pouvoir des mots où la question de la foi occupe une place centrale. Mais aussi plus largement la question de l'amour et de ce qui justifie une vie humaine.

"Avec amertume j'ai pu me dire à moi-même : en tant que poète tu insuffles la vie aux morts grâce à la foi, mais comme pasteur tu ne peux même pas accorder la mort à celui qui souffre... Ni les ressusciter. Pour ne pas se laisser totalement submerger par ce sentiment d'impuissance, Ordet rattrape cette douleur..." Kaj Munk
Réalisation : Jacques Taroni"


Les fans d'Arthur qui ne seront pas disponibles à l'heure du souper familial, pourront écouter la pièce dès le lendemain (et durant une semaine) en cliquant sur le nom de la pièce à :

mardi 29 septembre 2009

Préparation de l'excursion littéraire 2010

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Nous envisageons, lors de l'excursion littéraire de 2010, une visite du château de Groussay, à Montfort-l'Amaury.


Pour information, nous avons donc mis sur notre site une présentation de Charles de Beistegui à Groussay. C'est à cette adresse.

Pour notre documentation, nous avons utilisé l'Abédécédaire des Châteaux publié chez Albin Michel en 2007.

Alberto MANGUEL

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Notre association Guillaume BUDÉ doit recevoir prochainement l'écrivain Alberto MANGUEL (28 janvier 2010). Or, la presse dans le Monde des Livres a fait paraître vendredi 25 septembre dernier un article concernant la parution de son dernier roman — "Tous les hommes sont menteurs". Occasion pour les budistes d'en savoir plus sur l'auteur qu'ils vont entendre autour du thème "La Lecture "… Je vous fais une courte présentation de l'auteur et de son dernier ouvrage.

Alberto Manguel, écrivain argentin est déjà connu pour avoir parlé de la lecture, des bibliothèques, des mythes et êtres imaginaires dans des essais foisonnants tels "La Cité des mots", "Une histoire de la lecture", "L'Iliade et l'Odyssée"… le "Dictionnaire des lieux imaginaires" ou autres biographies transformées telles celles de Stevenson et de Kipling.

Il est aussi romancier. Après "Un amant très vétilleux" (2005), paraît aujourd'hui aux éditions Actes Sud, une fiction romanesque "Tous les hommes sont menteurs" traduit de l'espagnol par Alexandra Carrasco. Dans ce dernier roman, l'auteur met en scène un écrivain, Alejandro Bevilacqua, qui n'a jamais produit une seule œuvre. Racontée par quatre narrateurs, l'histoire de cet écrivain fictif est celle d'un escroc des Lettres avec usurpation d'identité, délation et meurtre. Cet "éloge du mensonge" aux récits emboîtés, étire de passionnantes digressions à la façon des œuvres littéraires ibériques, sud-américaines.

C'est une plongée dans l'imaginaire qui traite de la création littéraire et de l'amour des femmes dont il est beaucoup question : "Je compare l'amour à une traduction. Tout moi dans une autre langue, lu à présent à travers sa langue à elle que je dois apprendre comme un jour j'ai appris mon alphabet".

Illusion amoureuse d'un côté, simulation sociale de l'autre. Qu'est-ce que la vérité dans un monde régi par le mensonge ?

Abîme de réflexion dans lequel nous plonge Alberto Manguel. Hommage à la littérature.

lundi 28 septembre 2009

Claude AZIZA

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Claude AZIZA nous a déjà donné deux conférences :
L'Antiquité dans le cinéma des origines (1900-25) (en 1992)
L’Europe et le latin, l’exemple d’Érasme (en 2008)

Il reviendra mardi 20 octobre, dans le cadre de notre programme Jules César (qui débutera samedi prochain au théâtre) nous parler de LA MORT DES CÉSARS AU CINÉMA.

En attendant, vous pourrez le retrouver sur France Culture, vendredi prochain (2 octobre) entre 10 et 11 heures, dans l'émission de Raphael Enthoven : "les nouveaux chemins de la connaissance", dont le sujet, cette semaine est "Objectif Lune".

Claude AZIZA, outre ses compétences en matière de civilisation latine et de péplum, à l'occasion du 40e anniversaire des premiers pas de l'homme sur la Lune, a présenté le Roman de la Lune, une anthologie des plus beaux voyages imaginaires de la Terre à la Lune.

Il en parlera donc vendredi prochain sur FC<.

Si cela nous vous suffit pas, vous pouvez aussi l'écouter sur Canal Académie, la radio francophone académique sur Internet.
Pour l'entendre, suivez ce lien : Claude Aziza, de Quo Vadis à Saint-Sulpice !

À vos cassettes !

jeudi 24 septembre 2009

Photographies à Beaugency

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Le 4 avril dernier, nous avons accueilli un débat entre deux photographes Hugo MISEREY et Pascal de LAVERGNE en collaboration avec Valimage (Beaugency), il était intitulé :

TERRITOIRES PHOTOGRAPHIQUES CONTEMPORAINS

Depuis le 11 septembre et jusqu'au 4 octobre, Valimage présente la troisième édition de la biennale de photographie de Beaugency.

Visitez le site de Valimage, vous pouvez aussi télécharger le dépliant de la manifestation.

Des photos de Franck Collin, membre du bureau de notre association, y figurent.

Hugo Miserey sera aussi présent samedi soir prochain (26/9)

Rénovation de notre site

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Le site de l’association Guillaume-Budé-Orléans vient d’être rénové dans sa forme et enrichi dans son contenu. On parvient désormais à la PAGE D’ACCUEIL en allant à l’adresse :
http://www.bude-orleans.org/


On trouve sur cette page d’accueil :
• l’annonce de la prochaine activité,
• un lien (au centre) vers le PROGRAMME DE LA SAISON en cours, avec dans ce programme, au fur et à mesure que la saison s’avance, le compte rendu des activités passées et la présentation des activités à venir,
• des liens (sur la partie droite) permettant d’accéder aux différentes parties du site.

Sur toutes les pages
• passer le curseur sur le bandeau noir en haut permet de faire apparaître et d’utiliser les liens aux différentes parties, c’est-à-dire le « menu » du site.
• cliquer une fois, dans le cours d’une page, sur les lignes de séparation permet d’accéder au début de cette page,
• cliquer une fois sur le logo en haut à gauche permet d’accéder à la page d’accueil du site,
• cliquer une fois sur >l’image en haut à droite (dans les sections particulières comme Excursions littéraires , Voyages culturels, Études & textes de conférences, Fiches de géographie littéraire) permet de revenir à l’index de cette section,
• cliquer une fois sur le copyright ouvre un document permettant de rédiger un COURRIEL (pour limiter l’envoi de pourriels ou spams dans notre boîte aux lettres, il faut, avant d’envoyer le message, modifier l’adresse en remplaçant le # par une @, puis effacer cette mention de l’objet du message).

Dans ce site, nous mettons à la disposition de tous nos ARCHIVES depuis 1954. Elles comprennent :
•les comptes rendus de toutes les conférences, de toutes les excursions littéraires, ainsi qu’un rappel du programme de tous les voyages culturels,
• le texte complet de certaines conférences,
• la totalité des fiches de géographie littéraire qui, depuis 1955, ont été établies pour la préparation et la présentation des excursions.
*
Il est vivement conseillé aux membres de l’association
• de s’inscrire sur notre “liste de diffusion”, afin de recevoir régulièrement des informations sur nos activités
• d’utiliser le “blog” qui permet d’instaurer un dialogue entre les membres (un document complémentaire va être édité pour préciser le mode d’utilisation de ce « blog »).
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Le site Guillaume-Budé-Orléans est encore en cours d’élaboration. Toutefois il nous serait utile que, dès maintenant, vous nous signaliez les imperfections rencontrées (liens brisés, fautes…) en utilisant pour cela les courriels que vous pouvez nous envoyer depuis chacune des pages du site.

lundi 21 septembre 2009

Communiqué de presse - saison 2009-2010

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La saison 2009-2010 commencera par un ensemble de six activités autour du personnage de Jules César, en collaboration avec le Centre Dramatique National/Orléans/Loiret/Centre et le cinéma des Carmes : quatre conférences, la représentation de la pièce de Shakespeare et la projection du film de Mankiewicz. En novembre, à l'occasion du Festival du Quartier Saint-Marceau, sera proposée une conférence sur l'art de la caricature.

L'Antiquité sera évoquée par une conférence sur la Cyrénaïque, par une lecture de textes de l'Iliade et par le regard que portait Simone Weil sur Rome et la Grèce. En janvier, le grand écrivain Alberto Manguel viendra parler de la Lecture.

Deux conférences, l'une sur les USA et l'autre sur Benjamin Franklin, auront préparé le vingtième des voyages culturels organisés par l'association depuis 1990 : il conduira, en mai 2010, à New-York et à Washington.

La traditionnelle excursion littéraire du début juin mènera sur deux sites des Yvelines. Ce sera la 52e excursion organisée depuis 1955. A cette occasion l'association Guillaume-Budé Orléans a mis sur son site web totalement rénové (http://www.bude-orleans.org/) les 200 fiches de géographie littéraire qui ont servi à la préparation de toutes ces excursions."

mercredi 1 juillet 2009

Nouvelle adresse pour Guillaume-Budé Orléans

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Le nouveau site est en ligne à l'adresse :


Notez-la bien !


Il est aussi possible d'accéder à notre site en cliquant sur le logo situé en haut et à gauche de cette page (en dessous de "section orléanaise") 

mardi 16 juin 2009

Photos

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Les souvenirs photographiques de l'excursion littéraire, du week-end dernier, sont accessibles sur le web :
ROUEN (samedi),
la VALLÉE DE LA SEINE et le PAYS DE CAUX (dimanche).

Pour voir les diaporamas, vous devez cliquer sur l'un des liens ci-dessus, sur la page qui s'affiche, cliquez sur l'une des petites photos. Vous pouvez alors naviguer en cliquant sur les trois flèches du haut de la page.
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lundi 20 avril 2009

Les Belles Lettres

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Aux Belles-Lettres, dans la collection Realia (dirigée par Jean-Noël Robert), va être réédité, à la mi-juin 2009, l'ouvrage que Robert Turcan avait publié en 1987 : Vivre à la cour des Césars, d'Auguste à Dioclétien (Ier-IIIe siècles ap. J.-C.).

Cet ouvrage pemet d'entrer dans l’intimité de la cour des Césars, cet état dans l’État qui a eu son propre mode de vie, ses mœurs, ses mentalités, ses pratiques, ses dévotions et aussi ses folies. On y trouve un portrait des maîtres du monde méditerranéens et de leur entourage durant trois siècles. Avec Tacite (c. 55-120), Suétone (70-122), Dion Cassius (155-235), Hérodien (175-249) et l’Histoire Auguste (fin du IVe siècle), mais aussi avec la mémoire concrète des monuments construits, peints et sculptés, — toujours présents à Rome, à Capri, à Tivoli ou dans les musées — on peut revivre, dans leur disparité déconcertante, tragique ou pittoresque, les vies quotidiennes des quelque quarante empereurs qui ont tour à tour fait, défait ou refait la grandeur de l’Empire. 

Adresse du site des Belles-Lettres : http://www.lesbelleslettres.com/